L’administration américaine, ayant à sa tête le fameux Donald Trump qui osait proposer aux américains de s’injecter de désinfectants, s’apprête à expulser de son sol une centaine d’haïtiens “illégaux” dont 50 accusés de “criminels” par la justice des États-Unis.
Ce Trump qui mène une politique repliée sur lui-même en faisant semblant que les intérêts américains lui sont prioritaires pour préparer l’élection présidentielle de novembre prochain, n’obtempère et maintient sa politique jugée “raciste et xénophobe” par plusieurs organisations de droits des immigrés.
Ce total d’haitiens est bien la troisième cohorte qui va être expulsé au risque de leur vie et de la propagation du virus en Haïti. Dans un premier temps, il était question de 68, suivis sans tarder de 128 haïtiens.
Devant la férocité de la diplomatie américaine qui semble chérir Haïti que lorsque les États-Unis veulent s’attaquer au Venezuela, le Chancelier haïtien, Claude Joseph, a été impuissant parce que ce pays qui est en proie de perdre sa puissance mondiale n’entend aucun conseil venant de l’extérieur. Même les protestations super importantes et cartésiennes de Médecin sans Frontière et d’autres congressistes n’ont tenu effet devant cette décision “déroutante et inhumaine” des États-Unis.
