Opinion

Analyse : Le Covid-19 serait-il une stratégie pour freiner la pression démographique ?

Dans un texte écrit par deux étudiants haïtiens, la théorie du complot évoquée par ces jeunes pourrait être la possibilité que la pandémie soit perçue comme une stratégie humaine pour mettre un terme à la pression démographique qui est depuis belle lurette un grand calvaire pour les autorités du monde entier. Une analyse profonde nous est présentée dans ce texte que nous vous proposons de lire. Toutefois, l’OMS récuse toute idée qui ferait croire que le virus serait d’une manipulation humaine.

Lisons attentivement ⤵️

Covid-19 ; est-ce une mesure prise par Les autorités politiques et sanitaires mondiales pour freiner la pression démographique?

Depuis l’émergence de la première étincelle où l’homme conscient lutte pour sa survie, les problèmes économiques se posent à lui de manière incontournable. Vivre, manger, se protéger. Dès que l’homme naît, il acquiert la malédiction économique, telle la transmission des codes génétiques d’un père à un fils. La mythologie chrétienne nous a fait comprendre dans la genèse, que cette malédiction a commencé depuis le fameux péché du couple Adam-Ève à l’Eden. L’Intelligence Suprême par une seule phrase a scellé le sort de l’humanité : <>.Sur terre la gratuité n’est pas de mise depuis qu’Adam et Ève ont été chassé du prétendu paradis terrestre (Eden ) et chaque satisfaction semble se payer de cette unique manière. Les économistes ont donné un nom à la malédiction : la rareté. Voilà le concept de base de l’économie, et il est bien simple. Il n’y a pas sur terre, à l’état de nature, assez de biens, de ressources, pour satisfaire suffisamment tous les besoins de l’homme. Depuis toujours l’homme ou plutôt tout les économistes tentent de rendre l’inéquation absolue de l’économie en une simple équation : ressources < besoins en ressources = besoins mais sans succès. Existe-t-il une évidence plus immédiate que celle de la malédiction économique ?

De la malédiction économique survient un autre problème encore plus grave : la malédiction de Malthus. La malédiction de Malthus est un problème tant économique que démographique survenu à la prolifération de l’espèce humaine sur la surface du globe. Avec la multiplication des individus entraîne nécessairement la multiplication des besoins qui au départ étaient largement supérieurs aux ressources.
Dans son Essai sur le principe de la population, il affirme selon une hypothèse mathématique de l’éminent mathématicien Leonhard Euler, une table avec laquelle il a pu vérifier par des démonstrations mathématiques l’accroissement de la population. Si l’on base sur une mortalité de 1 sur 36, et si, naissances et morts sont dans le rapport de 3 à 1, le chiffre de la population doublera en 12 ans. Considérons maintenant la surface de la terre, en posant comme condition qu’il ne sera plus possible d’avoir recours à l’émigration pour éviter la famine. Comptons par simple hypothèse que le nombre d’habitants de la terre est de sept mille milliards à l’heure actuel. La race humaine croît selon une progression 1,2,4,8,16,32,64,128, 256… Une suite géométrique où la population croît de façon exponentielle. Tandis que les moyens de subsistance croîtrons selon la progression 1,2,3,4,5,6,7,8,9… au bout de deux siècles la population et les moyens de subsistance seront dans le rapport de 256 à 9 ; au bout de trois siècles, 4096 à 13 ; après deux milles ans , vous pouvez remarquer l’immensité qui plane entre ces deux accroissement.

Reprenons l’étude dès le départ pour arriver à l’heure actuelle, c’est-à-dire en 2020. Il a fallu des milliers d’années de l’aube de l’humanité au début du XIXème siècle pour atteindre le milliard. Mais seulement cent ans pour le doubler. Deux milliards d’individus en 1920. Et ensuite cinquante petites années pour atteindre quatre milliards. En 1970. Si nous partons de l’évolution du plancher démographique, en 2015 nous devrions atteindre huit milliards. Aujourd’hui, la population augmente de deux cinquante milles individus par jour. Un quart de million ! Et ce, tous les jours_ qu’il pleuve, qu’il vente. Chaque années, nous essaimons telle des abeilles dans une ruche. Et nos ressources croît de façon presque constante.

Lorsque l’homme atteindra le rapport 1 sur 1000, l’humanité sera au bord du précipice, prêt pour sa descente spectaculaire en enfer. Où la surpopulation sera son Virgile comme escorte personnelle dans le royaume d’Hadès. Sous la pression démographique, ceux qui n’ont jamais eu le tempérament d’un voleur vont se mettre à voler pour nourrir leur progéniture. Tous les grands péchés évoqué par l’illustre Dante dans la divine comédie feront surface dans l’âme humaine SALIGIA( l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie, la gourmandise, la colère et la paresse)_ vont se propager à travers l’humanité, remonter à la surface de chaque individus exacerbés, amplifiés, parce que nous pleurerons notre confort perdu. Nous sommes à l’aube d’une grande bataille : sauver nos âmes. Et sauver les âmes revient aussi à sauver des vies.

Malthus avait proposé deux solutions afin de diminuer la pression démographique. Premièrement la solution la moins drastique est de réduire les besoins, et les adapter aux ressources. Y compris la solution la plus radicale évoqué par l’économiste : faire moins d’enfant. La réduction des besoins et les adapter aux ressources est une solution liée à la culture et à la philosophie d’un peuple. Cette philosophie préconisait une réelle détachement de la vie matérielle, qui incite l’individu a limité ses désirs, et a les restreindre à ce qui est accessible dans notre environnement immédiat. Cette solution a été découverte avec émotion par bon nombre d’écologistes qui critiquaient notre modèle de civilisation hédoniste. J’en doute fort qu’avec l’évolution galopante de la technologie, l’homme moderne fera un détachement matériel pour pouvoir réduire ces besoins. Faire moins d’enfants. Comme nous l’avions mentionné plus haut dans les paragraphes précédents, l’accroissement de la population évolue de manière inverse à celle de l’accroissement naturel des ressources. Malthus donne une description du sort de l’humanité qui nous rappellent certains traits de notre actualité. Lorsque l’homme arrive sur terre, dit-il, il pénètre dans un monde déjà possédé. Si la société n’a pas besoin de son travail, il n’a aucun droit de réclamer de la nourriture, <>. Cette nature inflexible lui donnera l’ordre de s’en aller. Et Si, par malheur des convives apitoyés lui font une petite place à table <>. À partir de là l’ordre et l’abondance qui régnaient se transforme en disette ; <>. Cette misère est notre enfer, rendu possible grâce à la surpopulation. Devrons-nous prêcher les individus par des paroles, qu’ils devront réduire leurs appétits sexuels dans le risque de ne pas avoir trop d’enfants ? Par des paroles sans fondement, non. Mais par une campagne de sensibilisation qui doit inciter les gens à utiliser des préservatifs, comme moyen de contraception la plus raisonnable. Aider les gens à assouvir leurs appétits sans multiplier l’espèce de manière excessive.

Le problème c’est que, la majorité des contrées les plus peuplées de la planète, c’est-à-dire de l’hémisphère sud du globe qui se laissent facilement aveugler par des crédo religieux. Des missionnaires insèrent dans leurs consciences que s’ils s’avisent de mettre des capotes, ils iront en enfer. Selon eux, Dieu, Allah, le Grand Architecte, quelque soit sa dénomination dans les différents cultures puni la contraception sous prétexte qu’Il a déclaré après le sixième jour de la création que l’homme doit croître et multiplier la terre. C’est grotesque et inconcevable.
Les plus grands économistes, écologistes et démographes du monde ont fait de la malédiction de Malthus, l’un des plus grands problèmes de l’humanité. En essayant de le résoudre. Mais comment ? Faire moins d’enfants s’avèrent être un maux pour certains gens de la planète. Le problème est imminent et une solution plus radicale devra prendre pour résoudre ce problème.

Outre les catastrophes naturelles, qui pourraient aider à gérer ce problème de surpopulation. Il existe un moyen plus radicale de diminuer la pression démographique ; une pandémie( épidémie à l’échelle planétaire). Les catastrophes naturelles sont des événements incertains dont les manifestations proviennent directement de la nature. N’oublie pas que les catastrophes naturelles visent tout les individus ; et que l’homme face au risque naturel ne peut rien, à part prendre des précautions afin de limiter les dégâts. Depuis la grande pestilence ou la peste noire qui a ravagé l’Europe en dans les années 1300, les autorités publiques ou plus particulièrement WHO (World Health Organisation). Ont toujours eu recours à cette mesure. Une épidémie à l’échelle planétaire, qui de mieux pourrait nettoyer la planète avec facilité.
En 1920, la terre comptait deux milliards d’habitants, et au bout de cinquante petites années( 1970), il a atteint quatre milliards. Alors qu’il a pris des millénaires pour atteindre un milliard. Des estimations ont prouvé jadis que d’ici 2015 nous devrions atteindre 8 milliards. Mais pourquoi depuis 2011 nous sommes toujours à 7 milliards et il n’y a que 0,7 milliards qui a augmenté depuis ?

Les plus grandes fléaux pandémique ont toujours eu pour but la réduction de la population mondiale, dans le but de rendre la planète vivable pour un certain nombre d’individus. Tous les spécialistes de l’environnement et des statisticiens du monde vous dirons que l’humanité a la meilleure chance de survie si sa population ne dépasse pas quatre milliards d’habitants.
Prenons par exemple le SIDA, l’un des plus grands fléaux pandémique de l’histoire. Le premier cas enregistré du virus SIDA était dans la République Démocratique du Congo à Kinshasa. Période que nous savons tous que le continent Africain a commencé à se décoloniser. Un continent jeune, soif de désir de procréer. Et comme par magie, le SIDA est apparu, pile au bon moment. Une coïncidence ? Je ne crois pas. Limiter la population africaine dans le but de ne pas exagérer la pression démographique mondiale. La grande question, pourquoi le SIDA. Le SIDA est un rétrovirus, sont une famille qui dérive de la classification des vecteurs viraux. Les deux autres classes sont les lentivirus et les virus adéno-associé(AAV). Les vecteurs viraux sont des outils utilisés en biologie moléculaire et en génie génétique. C’est un micro-organismes conçu pour introduire une information génétique dans la cellule cible. Au lieu de tuer la cellule, ce virus modifie et insère une séquence ADN prédéterminé pour modifier son génome. Mais comme vous le savez, le génome humain est une structure très délicate. Une château de carte. La moindre ajustement risque de modifier son architecture et faire écrouler l’ensemble. Il est à savoir que les vecteurs viraux n’ont pas toujours des effets dévastatrices, ils peuvent être bénéfique. Selon l’intention du généticien. Par exemple, si un virus était insidieusement conçu pour insérer un ADN défectueux dans les cellules saines, les conséquences pouvaient être dévastatrices. Et c’est le cas du syndrome immuno-déficience acquis. Un virus transmissible dans les rapports sexuels. Qui de mieux peut forcer les gens à mettre des capotes lors des rapports sexuels. Était ce vraiment le but ? Forger un virus qui peut être transmis sexuellement ?

En fait, non. Ils voulaient terrasser le monstre chtonien. Les divinités grecques chtoniennes sont des divinités anciennes ayant contribué à la formation du panthéon grec. Ils sont dites chtoniennes parce qu’elles appartiennent à Gaïa, la terre. Gaïa dans la mythologie grecque a une autre dénomination fort courante : la déesse-mère ou mère divine. La sublime déesse d’où dérive toutes les dieux. Partant de Ouranos à Hadès. Et cette divinité incarne la fertilité. La fertilité, le monstre chtonien, c’est notre propre fécondité. La véritable solution pouvant stopper net, la prolifération de l’espèce. Stopper le rythme de la fécondité humaine par le biais d’un vecteur viral. Et ils ont failli réussi. Au lieu de modifier la cellule cible, le SIDA. Il détruit la cellule et entraîne la mort de l’individu. Au lieu d’utiliser cette technologie découverte à des fins bénéfique, ils l’ont utilisé à des fins destructrices dans le but de créer des armes biologiques pour une nettoyage ethnique.

Et par une déduction simple, on ne peut pas ignorer que le covid-19 puisse utiliser à cette même fin. Avec l’évolution de ce virus, les villes infectées, tout porte à croire que cette maladie a été utilisé comme moyen pour garder le seuil de la pression démographique.



Abel JOSEPH : étudiant en droit à la faculté de droit et des sciences économiques
E-mail : [email protected]
Jean-Bernard JOSEPH : étudiant en économie à la faculté de droit et des sciences économiques
E-mail : [email protected]

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