L’INDDESC lance le débat pour une Haïti moderne axée sur les droits économiques, sociaux et culturels

Dans un contexte où Haïti cherche à tracer la voie vers un avenir prometteur, l’Institut National pour la Défense des Droits Économiques, Sociaux et Culturels (INDDESC), sous la direction éclairée de Frédo Jean Charles, émerge comme une voix influente pour amorcer un débat d’intérêt général qui se tiendra durant tout le mois de septembre à Port-au-Prince. Cet organisme novateur se concentre sur la promotion et la protection des droits économiques, sociaux et culturels, mettant ainsi l’accent sur une Haïti moderne, plus équitable et inclusive.
L’INDDESC a été fondé par Frédo Jean Charles, un défenseur des droits de l’homme et fervent militant des questions sociales. Conscient des défis auxquels Haïti est confrontée, il prône un pays où les droits fondamentaux de chaque citoyen sont respectés et mis en avant, avec un accent particulier sur les droits économiques, sociaux et culturels.
Le choix du thème “Les droits économiques, sociaux et culturels au cœur des débats d’intérêt général” reflète la vision de Frédo Jean Charles pour le développement d’Haïti. Il s’agit d’un appel à l’action pour l’ensemble de la société haïtienne, invitant les citoyens, les décideurs politiques, les organisations civiles et les acteurs économiques à se rassembler et à débattre des questions essentielles qui façonneront le paysage futur de la nation.
Les droits économiques, sociaux et culturels englobent un large éventail de sujets, allant de l’accès à l’éducation, à la santé, au logement, à l’emploi décent, à l’égalité des sexes, à la préservation du patrimoine culturel, et bien plus encore. Ces droits sont indissociables les uns des autres et contribuent à créer une société équilibrée où chacun peut réaliser son potentiel.
L’INDDESC entend donner la parole à la société civile haïtienne, offrant un espace pour les débats constructifs et inclusifs. Frédo Jean Charles souligne l’importance d’une approche participative, où les voix de tous les citoyens, en particulier les plus vulnérables et marginalisés, sont entendues et prises en compte dans le processus décisionnel.