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La révision des coefficients des nouvelles matières aux examens officiels de la 9e année, au centre des débats lors de l’atelier du MENFP

Une décision ministérielle avait été prise ultérieurement par le titulaire du MENFP, M. Nesmy Manigat, le 14 juillet dernier, visant à réviser les coefficients des matières nouvellement incluses aux examens officiels de la 9e année. Autour de ce thème, le Ministère de l’Éducation Nationale et de la Formation Professionnelle (MENFP) a organisé un atelier regroupant à Pétion-Ville un ensemble de directeurs pédagogiques et d’enseignants des écoles publiques et privées, le mercredi 26 juillet 2023. C’est ce qui a été indiqué dans une communiqué publié par le bureau du MENFP.

Langaj

C’est à Pétion-Ville, dans un atelier de formation organisé par le MENFP, qu’environ une soixantaine de directeurs pédagogiques et d’enseignants d’écoles publiques et privées ont été réunis pour débattre sur la révision des coefficients des nouvelles matières incluses aux examens officiels de la 9e année. Cela fait suite à la décision ministérielle portant à introduire aux examens de la 9e A.F. des matières comme l’Initiation à la Technologie et aux Activités Productives (ITAP), l’Éducation Physique et Sportive (EPS), l’Éducation Esthétique et Artistique (EEA).

Dans le cadre des travaux de cet atelier, les participants (directeurs pédagogiques, enseignants, représentants d’organisations éducatives) ont non seulement débattu autour de « la correction des ITAP, EPS, EEA sur un coefficient deux (2), c’est-à-dire, chacune d’entre elles sur deux cents points », mais aussi de la présentation des programmes de ces matières, des outils pédagogiques et didactiques qui devraient être mis à la disposition des transmissions de ces matières.

En cette occasion, le directeur de l’enseignement fondamental, Kendy Nicolas, avait pris la parole. « Il faut souligner l’importance de la transformation de l’éducation en Haïti, à travers des décisions ministérielles qui devraient être adoptées afin d’assurer un avenir meilleur pour les élèves », a-t-il dit. Il a poursuivi en laissant comprendre que ces décisions doivent faire de l’école haïtienne une institution qui est là pour former de bons élèves et d’honnêtes citoyen.nes. Ces derniers auront des compétences de vie, de base et professionnelles.

Job Maurice, Coordonnateur général du Pôle enseignement et qualité, a souligné que les représentants des écoles doivent s’assurer que ces nouvelles disciplines soient enseignées en salle de classe. Donc, il faudrait qu’ils acquièrent des outils, des indicateurs, des procédures, des évaluateurs différents avec des champs de compétences qui seront également différents.

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