Le Premier ministre Ariel Henry a montré qu’après ses compétences de neurochirurgien, il ne pouvait être utile à rien d’autre. Incapable de mener à bon terme la chose publique, il s’est avéré être un conzé, un Cicéron Dimanche ou encore, un traitre au superlatif. Selon le président dominicain, Luis Abinader, c’est le traitre Henry qui l’avait conseillé de fermer la frontière entre son pays et Haïti en vue d’empêcher la continuité de la construction du canal sur la Rivière du Massacre du côté haïtien.
Luis Abinader a fait cette déclaration alors qu’il était en voyage aux États-Unis mardi 7 avril 2024. Il a fait savoir que si la frontière haïtiano-dominicaine a été fermée pour forcer l’arrêt de la construction du canal de Ouanaminthe, c’était sur demande d’Ariel Henry, Premier ministre d’Haïti d’alors.
Selon Abinader, Ariel Henry l’avait assuré que le gouvernement haïtien n’avait rien à voir avec la construction dudit canal. C’était seulement un petit groupe du secteur privé qui voulait construire ce canal au détriment du peuple haïtien, avait déclaré Ariel Henry, selon le numéro un dominicain.
Cette révélation paraît évidente quand on se rappelle de la position du gouvernement d’Henry face aux agissements de la République dominicaine lors de la construction de ce canal.
Malgré toutes les décisions de Saint-Domingue, le gouvernement haïtien était resté passif. Aucune aide, aucun support n’a été acheminé à la commission responsable des travaux de la part de Port-au-Prince.
Jusqu’à présent, malgré le manque de moyens déploré par les responsables du projet pour finaliser les travaux, les autorités centrales font encore la sourde oreille.
Ariel Henry rejoint la liste des traitres aux côtés de Jean-Baptiste Conzé, Cicéron Dimanche et tant d’autres. À la tête du pays pendant plus d’une trentaine de mois, il n’avait rien fait pour apaiser la souffrance du peuple haïtien. Au lieu de fournir des moyens efficaces aux forces de l’ordre haïtiennes pour pacifier le pays, il avait préféré solliciter une intervention étrangère en violation de la Constitution de la République. Ajouté à cela, il a comploté avec un dirigeant étranger contre des intérêts supérieurs de la nation haïtienne.
