Le régime de Tel Aviv ne fait pas d’exception lorsqu’il attaque. Dans le massacre sioniste, les bâtiments apolitiques ne sont pas épargnés. L’armée israélienne a bombardé une église orthodoxe gazaouie, des bâtiments scolaires et hospitaliers. Selon ce que le ministère palestinien de la Santé a annoncé, plus de 200 médecins ont été tués dans les attaques d’Israël sur des bâtiments hospitaliers, et plusieurs centaines autres sont sortis blessés. Ces chiffres ont été présentés, samedi 11 novembre 2023, puis rapportés par des médias internationaux.
Les autorités palestiniennes ont sollicité l’appui de plusieurs États musulmans pour contrecarrer les Sionistes. Plusieurs pays tels que le Liban, le Yémen, l’Iran entre autres, ont manifesté leur volonté d’aider la Palestine. Depuis les répliques du 11 octobre 2023, au moins 200 médecins sont tués des centaines autres sont blessés dans des frappes aériennes israéliennes.
Effectivement, selon un article publié par Atlas News, samedi 11 novembre, qui cite les autorités sanitaires de la Palestine, le directeur de l’hôpital Al-Shifa à Gaza, avait été contraint de déclarer l’« état d’urgence » parce que les forces armées israéliennes l’avaient encerclé. Par manque de soin et d’oxygène, au moins 39 nourrissons sont désormais morts dans cet hôpital. Cela a provoqué le mécontentement des médecins britanniques qui ont lancé une manifestation. Ces derniers se sont rassemblés devant le bureau du Premier ministre à Londres, brandissant des banderoles portant les noms de plus de 200 médecins tués par Israël.
Parallèlement, le Croissant-Rouge palestinien a publié un communiqué dans lequel il a dit : « des chars et des véhicules militaires israéliens encerclent l’hôpital Al-Quds de toutes parts, simultanément à des bombardements d’artillerie. Le bâtiment entier tremble, des tirs intenses sont dirigés vers l’hôpital, et le nombre exact de blessés n’est pas encore connu ».
